Pourquoi ce blog ?

La réponse est simple, le SNALC existe en Corse, il est d'ailleurs l'une des deux forces syndicales majoritaires, et ce depuis longtemps.Les élections aux CAPA de 2011 confirment notre implantation (19 siéges pour le SNALC)
Malgré ce fait irréfutable, comme vous l'avez sans doute constaté nous n'apparaissons pas souvent dans la presse quotidienne locale et encore moins sur la télévision publique.
Nous utilisons donc ce blog pour diffuser ce que les medias nous refuse, c'est à dire faire entendre votre voix.
Merci de nous aider à diffuser ce blog.

lundi 24 décembre 2007

Joyeux noël

Le SNALC Corsica vous souhaite un....
Bon natale à tutti !!!!!

lundi 10 décembre 2007

L'avez-vous lu dans la presse ?(Corse hebdo du 7/12/2007)


1) Dans le panorama syndical de l’enseignement où se situe le SNALC ? Pour certain il est à droite. Qu’en est-il ?

Le SNALC n’est ni de droite, ni de gauche, il est apolitique.
Nous ne nous déterminons que par rapport à un seul critère : est-ce que la reforme, ou la mesure proposée par le pouvoir est bonne pour l’école, pour les enseignants, pour les élèves. Si oui nous la soutenons, que le gouvernement qui la propose soit de droite ou de gauche. Si nous la considérons comme néfaste nous la combattons.
Comme nous l’avons fait l’an passé, lorsque G de Robien proposait une modification des décrets de 1950 régissant les obligations de service des enseignants du secondaire, ou comme nous nous sommes opposés à R. Haby pour la mise en place du collège unique. 2 ministres de droite me semble-t-il.
Les adhérents du SNALC se trouvent dans tous (ou presque) les partis politiques nationaux et même en Corse dans la mouvance nationaliste.
Certains dirigeant nationaux actuels ont fait de la politique, les uns à gauche les autres à droite.
Dans notre académie lors des dernières élections territoriales des cadres du SNALC étaient présents sur 10 listes, certaines à gauche, d’autre à droite ou sans étiquette.
Au sein de notre organisation tous travaillent ensemble dans une bonne entente, dans le respect des opinions de chacun, unis par une même vision de ce que doit être l’école de la République.
Bien sur nos concurrents ont beau jeu d’essayer de nous marginaliser, de nous décrédibiliser en nous taxant de syndicat réactionnaire de droite ce qui leur permet d’éviter un débat de fond sur les problèmes de notre école, en rejetant avec un certain mépris nos propositions et nos solutions et en s’absolvant de leur propre responsabilité dans ce qu’il faut bien considérer comme un désastre.

2) Quelle est aujourd’hui votre représentativité dans l’île ?

Depuis les élections professionnelles de décembre 2002 le SNALC est le premier syndicat de l’île dans le second degré, ce qu’a confirmé le scrutin de 2005. Nous avons présenté des listes dans toutes les catégories de personnels enseignants et d’éducation et obtenu environ 600 suffrages. Nous sommes le premier syndicat de l’Académie pour les lycées professionnels, nous sommes majoritaires dans la catégorie des CPE. En tout 24 élus dans les CAPA défendent au mieux les intérêts de nos adhérents et sympathisants, le nombre de nos élus est le même que celui de la FSU toute entière.
Le SNE (Syndicat national des écoles), qui est notre partenaire au sein de la CSEN, confédération dont nous faisons partie n’a pas encore d’élus dans le premier degré, c’est pourtant dans le primaire que les idées du SNE seraient salvatrices.
Le SNALC n’est pas seulement un syndicat enseignant, nous sommes représentés chez les personnels ATOSS avec un élu et de nombreux adhérents qui nous font confiance.

3) Qu’est-ce qui vous différencie, par exemple de la FSU ?

Ce qui nous différencie des autres syndicats de l’Education Nationale, notamment de la FSU, c’est à la fois la doctrine et, dans l’action, l’esprit et la méthode.
1-La doctrine : la démocratisation nécessaire de l’enseignement depuis la création du collège unique jusqu'à nos jours, création approuvée par l’ex FEN (devenu aujourd’hui la FSU et l’UNSA), s’est traduit par une « massification » qui a voulu nier les différences de niveau et surtout la diversité des esprits et a abouti à une médiocrité générale. Bien entendu, celui-ci nuit aux bons élèves mais plus encore à ceux dont les capacités ne sont pas d’ordre scolaire et qui s’épanouiraient dans un enseignement professionnel : le pays en a un besoin vital. Il est donc plus qu’urgent de substituer une autre voie à celle du collège unique.
2- L’action : esprit et méthode
Nous n’avons cessé de contester l’esprit et la méthode du syndicalisme tel qu’il s’exerce encore trop souvent dans la seule France. En effet ce dernier est profondément politisé et paradoxalement figé dans des revendications de refus, et de ce fait il dessert plus qu’il ne sert.
Aujourd’hui, peut-être, sommes nous à la croisée des chemins… En ce qui nous concerne, nous séparons le politique du syndicalisme : quelque soit le gouvernement en place, il est légal et légitime. Aussi sommes nous des partenaires ouverts mais, quand les intérêts des membres de l’Education Nationale rejoignent ceux des élèves et de leurs parents c'est-à-dire du pays réel, nous savons alors les défendre de façon intransigeante et n’hésitons pas recourir à la grève. Mais une grève axée sur un thème clair et conçue comme l’ultime recours. Pas de grève rituelle, ni de grève « fourre-tout ».
Enfin dans nos activités quotidiennes, nous priviligeons la dimension humaine des dossiers. Ceux que nous suivons ont un visage, une voix, une vie : ils ne sont pas réduits à leur fonction, peut être serait-il utile d’ajouter que contrairement à la plupart des fédérations nous ne sommes pas subventionnés par l’Etat, seul les cotisations de nos adhérents nous permettent de fonctionner.


4) Dans le débat en cours, notamment sur la réduction du nombre de fonctionnaires et sur l’autonomie des universités quelles sont vos positions ? Les reformes envisagées vont-elles dans le bon sens ?

a- Sur la réduction du nombre des fonctionnaires.
Sur ce sujet comme sur bien d’autres, il faut aller au-delà des slogans en sachant que l’Education Nationale est dans la nation et tributaire de l’intérêt général. Si ces réductions visent à supprimer des emplois inutiles, les doubles emplois notamment, nous n’éprouvons à cet égard aucun état d’âme. En revanche, nous refusons toujours que les postes, dans l’enseignement et dans l’administration de l’E.N, indispensables à un travail efficace disparaissent, alourdissant dangereusement les effectifs des classes et donc les charges des professeurs. Il en va de même pour les obligations des administratifs. Précisons que si certaines suppressions de postes devaient multiplier des services d’enseignement à cheval sur plusieurs établissements, y compris dans la même ville, nous nous y opposerons avec force. Nous exigeons dans les jours à venir que le Rectorat fasse savoir quels postes il s’apprête à supprimer, quelles en seront les conséquences sur les conditions de travail des élèves, des professeurs et des administratifs. Nous réagirons en fonction des explications fournies. Pas d’attitude systématique mais du discernement et de la fermeté.

b- Sur la reforme des universités.
Actuellement vous le savez la collectivité, vous et nous finançons les études de jeunes gens qui n’ont aucunement le profil. C’est bien parce qu’il faut cesser de dépenser de l’argent à fond perdus, car sans aucune garantie de résultat en terme d’orientation et de compétences acquises que l’autonomie des universités est nécessaire : elle est synonyme de responsabilité. Sur ce principe lui-même, nous sommes donc d’accord.
Cependant la réforme des universités sera-t-elle assez courageuse pour évaluer et orienter rigoureusement les étudiants. N’est ce pas le moment d’employer le mot sélection, un mot qui à priori effraie ou irrite, mais, dans la seule France, pays de Descartes, mais aussi des leurres et des faux semblants. Au SNALC, ce mot ne nous fait pas peur, il est juste, car conforme à l’intérêt des plus modestes qui font les frais de la non sélection, qui masque de plus en plus une sélection par l’argent.

5) Que pensez-vous de l’enseignement du Corse ?


L’enseignement de la langue corse a évolué dans le bon sens depuis quelques années.
Il occupe aujourd’hui une place importante au primaire comme au secondaire, et nous nous en réjouissons.
L’enseignement bilingue est une excellente pratique sur le plan pédagogique, il nous semble de plus primordial pour la pérennité de la langue corse.
Le développement de cet enseignement apparaît comme acquis, si l’on en croit les conventions Etat/collectivité de Corse.
À présent l’accent doit être mis sur la formation des professeurs de cette filière.
Les bases sont posées, mais il faudra encore du temps et du travail pour que cet enseignement prenne toute la place qui lui revient dans notre Académie.
C’est pourquoi le SNALC de Corse tient à rendre hommage, pour le travail déjà effectué, à l’ensemble des professeurs de corse, et à ceux de la filière bilingue, sans oublier, les précurseurs de l’enseignement du corse à l’école.
Rappelons que dans les années 70, un comité régional existait au sein du SNALC (Andria Fazi en était un membre éminent), il fut le premier à proposer l’introduction du corse dans l’enseignement.

6) Quels sont les problèmes qui vous préoccupent actuellement ?

Si vous parlez de reforme dans l’E.N,il en est fort peu qui soient en train mais nous considérons que les 26000 heures supplémentaires défiscalisées mises à la disposition de notre académie pour ce premier trimestre avec l’objectif d’aider les élèves en difficultés est une bonne chose. Mais il faut une véritable refondation de l’Ecole : pour que celle-ci se fasse avec le consentement des professeurs et de tous les membres de l’E.N.
C’est une des conditions essentielles pour que chacun s’engage dans cette oeuvre grande et salubre après des années de déclin.
Le SNALC syndicat majoritaire dans les lycées professionnels en Corse prend acte de la réforme proposée par le ministre X. Darcos. Nous sommes favorables au lycée des métiers pour lequel nous nous sommes engagés dans l’académie. Une reforme du Bac pro nous parait souhaitable mais les propositions du gouvernement restent floues.
La généralisation annoncée du BAC PRO en 3 ans au lieu de 4 ne répond pas à de nombreuses questions.
Quelle sera la valeur de ce diplôme ?
Comment se fera le recrutement ?
Que deviendront les élèves de CAP ou BEP qui aujourd’hui n’obtiennent pas le BAC PRO en 4 ans ?
Quelles seront les possibilités réelles de réorientation et les passerelles à la disposition des lycéens en filière professionnelle ?
Etc.…….
Nous ne comprendrons toute réforme de l’enseignement professionnel que si elle s’inscrit dans un schéma d’ensemble cohérant qui n’aurait que le but de rendre les diplômes plus professionnalisant.
Sur le plan académique, parce que cela relève de notre responsabilité particulière en Corse, nous continuerons avec une vigueur décuplée à lutter contre toutes les formes de précarités, celle des titulaires remplaçants, celle des contractuels et vacataires et celle des professeurs exerçant sur plusieurs établissements.

samedi 24 novembre 2007

Pour suivre votre demande de mutation !!!

Pour suivre votre demande de mutation dans l'Académie de Corse, n'hesitez paz à contacter nos responsables académiques

Mr Barbolosi lucien
17 bd, fred Scamaroni, 20000 Ajaccio
Tél: 06.80.32.26.55

Mr Irolla rené
9 parc Belvédère, 20000 Ajaccio
Tél: 04.95.21.01.69
Fax: 04.95.21.20.04

Devez-vous participer au Mouvement inter-academique ?


Les dates à ne pas oublier !!!!!!!!!!


mercredi 14 novembre 2007

Elections du 4 décembre aux CAPA et CAPN

PROFESSION DE FOI
DU
SNALC – CSEN
Administration Scolaire et Universitaire


L’avenir de nos professions est incertain. On répète à l’envi qu’il y a trop de fonctionnaires, que l’informatique simplifie le travail et justifie les suppressions de postes… Que de menaces, que de craintes, justifiées ou non, dans cet avenir toujours changeant !

Certes, quand on invoque les doubles emplois, bien entendu, oui, nous sommes pour la clarification et donc la simplification et l’économie. Mais nous refuserons toujours que des emplois indispensables au travail efficace disparaissent, alourdissant sans contrepartie nos obligations.

Pour autant, nous ne céderons pas au sectarisme habituel et aux discours démagogiques ; nous protesterons par principe, attitude fermée aux conséquences déplorables dans le pays tout entier. Nous gardons notre libre-arbitre et notre action se développe tous les jours par le dialogue et la concertation. C’est ainsi que nous avons pu améliorer les choses dans de nombreux secteurs : action sur l’augmentation des salaires de la catégorie C par fusion des grades, transfert de personnels administratifs volontaires dans le cadre de la décentralisation des collègues TOS……

Le SNALC – CSEN en Corse et ailleurs, se veut porteur d’un message d’espoir : rejeter la mainmise de certaines fédérations subventionnées par l’Etat, mener résolument une action indépendante des pouvoirs politiques, affirmer que l’Administration Scolaire et Universitaire est nécessaire à la qualité de l’enseignement, et donc en travaillant étroitement avec les enseignants du SNALC majoritaire en Corse dans l’enseignement secondaire.

C’est dans cet esprit que nous vous demandons de voter, le 4 décembre, pour les listes nationales et académiques du SNALC-CSEN-ASU

Grève du 20 novembre

POSITION DU SNALC PAR RAPPORT A LA GREVE DU 20 NOVEMBRE 2007

Le 20 novembre 2007, un mouvement de grève a été lancé dans la Fonction Publique.
L’attitude du SNALC est constante : s’il s’agissait d’une grève claire, cohérente, apolitique ayant pour seul objectif l’amélioration des traitements des fonctionnaires, notre adhésion serait complète, mais comme, en réalité, il s’agit d’une grève fourre-tout mêlant des revendications diverses, voire hétéroclites (citons : le « dynamitage » des statuts, le pouvoir d’achat, la qualité et l’efficacité du service public, le retour des retraites d’avant la loi de 2003 …), le SNALC ne peut qu’avoir une attitude réservée et critique : en noyant la revendication unanime du pouvoir d’achat, on s’expose à être inaudible et donc impuissant.
Cependant, fidèle à sa tradition de liberté, le SNALC laisse à chacun de ses adhérents et sympathisants le soin de se déterminer.

Le Bureau Académique du SNALC.

samedi 10 novembre 2007

Ce que vous auriez dû lire dans la presse 2

Le SNALC Corsica s'adresse au Président de la République suite à la "Lettre aux éducateurs" de ce dernier.

Monsieur le Président de la République,
Comme tous les membres de l'Education Nationale, nous avons reçu le "Lettre aux éducateurs" et nous aimerions vous faire part, avec franchise et sincérité, de l'avis d'un professeur ordinaire, c'est-à-dire attaché à son métier, à ses élèves, dont la satisfaction est de revoir ses anciens élèves, entrés dans la vie professionnelle, qui, souvent, l'embrassent avec chaleur.
Bref, notre avis est que cette Lettre, si agréable à lire par le style et maintes valeurs qu'elle reflète, ne correspond en rien à la réalité. Quelle réalité ? Eh bien justement, celle des consignes ministérielles, publiées dans le BO hebdomadaire.
Nous prenons trois exemples significatifs:
1°) Page 17. Vous écrivez à propos de l'apprentissage des langues étrangères: "Je souhaite que nos enfants apprennent les langues à travers la littérature, le théâtre, la poésie la philosophie, la science". Fort bien. Mais la réforme des langues vivantes actuelle dit tout le contraire. Nous sommes censés passer des heures entières à étudier une cassette de réservation de chambre d'hôtel, par exemple. Au bout d'un mois, test commun et partage des élèves en "groupes de compétences" et on continue de plus belle. Les inspecteurs sont chargés de surveiller la mise en place des consignes par les professeurs et les évaluent en fonction de ce critère.
Il faut être intérieurement d'un naturel hardi et, extérieurement, d'une malice prudente pour oser faire, malgré tout, ce que vous dites, tout en négligeant pas l'aspect de communication nécessaire.
Et ce, sans aucun bénéfice que le contentement de bien faire son métier et d'instruire les élèves.
2°) Page 28. Vous écrivez: "Dans l'école de demain..... vous gagnerez plus, vous progresserez plus rapidement si vous choisissez de travailler et de vous investir davantage".
Fort bien. Mais les professeurs ordinaires, c'est-à-dire l'immense majorité d'entre nous, s'investissent déjà beaucoup, rentrent à la fin de la journée exténués et ressentent au fil des années, une fatigue croissante mais surmontée avec abnégation.
Alors, que faudrait-il que nous fassions de plus ? Brasser du vent, donner dans l'air du temps des faux-semblants, être bien en cour auprès de la hiérarchie administrative et pédagogique ?
3°) Page 28. Vous écrivez: " Vous pourrez choisir la pédagogie qui vous semble la mieux adaptée à vos élèves parce que je crois qu'il faut faire confiance aux enseignants, à leur capacité de jugement, parce qu'ils sont les mieux placés pour décider de ce qui est bon pour leurs élèves". Fort bien. Mais nous remarquons que jamais les professeurs n'ont été aussi encerclés, envahis, enfermés par des reformes aberrantes qui visent à rendre le professeur à un simple exécutant interchangeable. Où est la liberté d'esprit, de jugement et de méthode que vous prônez à juste titre ?
Enfin, en conclusion, nous relevons un passage (page 21) où vous parlez de la nécessaire éducation à la beauté et nous vous rejoignons avec enthousiasme. Mais les réformes actuelles sont telles que l'élève susceptible d'apprendre à voir la beauté, d'être ainsi formé, s'ennuie à longueur de temps pour des raisons précipitées et se désespère.
Voilà quelques exemples de la réalité ordinaire, désespérante bien des fois. Mais doit-on se résigner à cet immense gâchis ? Non, mille fois non. A condition de voir l'exacte réalité et engager non pas une énième réforme, mais des mesure concrètes de bon sens.
Veuillez agréer, Monsieur le Président de la République, l'assurance de nos sentiments respectueux.
Le SNALC Corsica

jeudi 8 novembre 2007

Ce que demandent le SNALC et le SNE

Le 07 novembre 2007

Le SNALC et le SNE (CSEN) ont demandé lors du 1er CTPD de l'année, à Monsieur l'Inspecteur d'Academie, la tenue d'un groupe de travail concernant le mouvement inter et intra académique dans le premier degré.
La demande de ce groupe de travail a reçu une réponse favorable de la part de Monsieur l'Inspecteur d'Academie.
A ce jour ce groupe de travail n'a toujours pas eu lieu, mais cela ne serait tarder (enfin nous l'esperons).
Nous sommes comme toujours à votre disposition et attendons vos suggestions au sujet de ce groupe de travail qui se veut crucial pour les personnels du 1er degré.
(N'hésitez pas à nous contacter sur ce blog)

Le responsable académique du SNALC

Ce que vous auriez dû lire dans la presse

Le 31 octobre 2007


Mouvement inter académique: Inquiétudes du SNALC
Le SNALC s'inquiète au sujet du projet de note de service relative au mouvement inter académique 2008, inquiétude d'autant plus grandes que, malgré de nombreuses réunions entre les syndicats et les autorités rectorales, un consensus avait été trouvé pour une modification de certains éléments du barème du mouvement inter académique concernant la Corse. Notamment sur des points nous tenant particulièrement à coeur: la bonification de 800 points pour tous les stagiaires en situation et non pas seulement pour ceux reclassés au 4 ème échelon, la bonification à partir de la 4ème demande pour le voeu unique Corse et l'enracinement dans l'académie de Corse par l'obtention du brevet des collèges ou le baccalauréat et/ou l'habilitation en langue corse.
A ce jour, aucune de ces bonifications ne semblent apparaître dans le projet de note de service. Le SNALC déplore le peu de cas qui a été fait du travail des organisations syndicales de l'académie de Corse. C'est dans cet esprit que le SNALC a demandé à être reçu en audience par le Ministre de l' Education Nationale.

Le Responsable académique du SNALC corsica