Le SNALC-FGAF, qui a soutenu le projet de loi de refondation créant
60 000 postes et réinstaurant une entrée progressive dans le métier,
maintient la position de bon sens qu'il a toujours défendue depuis le début
en toute transparence, à savoir son opposition au décret sur les rythmes en
l'état actuel, c'est-à-dire sans compensation sérieuse et sans garantie
d'une journée de classe équilibrée pour les élèves comme pour les
professeurs.
Il réaffirme par ailleurs que les projets de certains maires visant à mettre en place des pauses méridiennes de 2h30 ou 2h45 doivent être retoqués et qu'une lettre doit être envoyée aux DASEN pour que ces derniers y veillent.
Il demande enfin à nouveau que les professeurs des écoles perçoivent l'indemnité de suivi et d'orientation des élèves (ISOE), ce qui n'est qu'une juste reconnaissance de leur travail.
En conséquence, le SNALC-FGAF apporte son soutien aux personnels du premier degré qui manifesteront le 12 février sur ce mot d'ordre clair qui est le seul à traduire la réelle demande du terrain.
Il réaffirme par ailleurs que les projets de certains maires visant à mettre en place des pauses méridiennes de 2h30 ou 2h45 doivent être retoqués et qu'une lettre doit être envoyée aux DASEN pour que ces derniers y veillent.
Il demande enfin à nouveau que les professeurs des écoles perçoivent l'indemnité de suivi et d'orientation des élèves (ISOE), ce qui n'est qu'une juste reconnaissance de leur travail.
En conséquence, le SNALC-FGAF apporte son soutien aux personnels du premier degré qui manifesteront le 12 février sur ce mot d'ordre clair qui est le seul à traduire la réelle demande du terrain.
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