Le SNALC, avant toute chose, tient à exprimer toute son affectueuse solidarité à ses deux collègues injustement accusés, Jean-François Derdérian, secrétaire-adjoint du SNALC en Haute-Corse, et Émilie Guidicelli.
Le SNALC-Corse constate, une nouvelle fois, que le dossier de ses deux collègues accusés de « complicité de fraude » est vide, car enfin où est donc la fraude dans une telle affaire et, s'il n'y a point de « fraude », où est donc la « complicité » ?
La question centrale est la suivante : que vient faire la justice dans une procédure tout à fait souhaitable et légale d'attribution de notes définitives au sein d'un jury souverain ?
Le SNALC déplore l'aveuglement stupide qui consiste à jeter la suspicion sur deux enseignants parfaitement estimables et estimés par leur hiérarchie, leurs collègues, leurs élèves et les parents d'élèves. Il ne suffisait donc pas de les avoir soumis à une longue attente angoissée de près de deux ans... Voici qu'on s'apprête à les juger!
Le SNALC ne permettra pas cette violente intrusion de l'appareil judiciaire dans des procédures de notation saines et équilibrées.
En conséquence, le SNALC proposera une grande manifestation en temps utile, dès la date du procès connue.
Le Bureau Académique du SNALC
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire