Le SNALC entend ainsi protester contre les suppressions massives de postes qui mettent en péril le fonctionnement du service public d'éducation.
Par cette action, il dénonce également le collège unique et la réforme des lycées général et technologique qui mettent à mal l'enseignement des disciplines et des savoirs, seuls garants de la formation d'esprits critiques et libres.
Par cette grève, le SNALC entend aussi s'opposer aux projets qui ont pour but de remettre en cause les horaires hebdomadaires des professeurs du secondaire ou de diminuer la durée des congés scolaires, à l'heure où l'OCDE elle-même pointe la faible rémunération des personnels de l’Éducation Nationale.
Il rappelle à tous ceux qui partagent ces analyses qu'ils auront l'occasion, en votant du 13 au 20 octobre prochain pour les listes présentées par le SNALC et l'UNION POUR L’ÉCOLE RÉPUBLICAINE, à laquelle appartiennent le SNALC-CSEN-FGAF, de manifester à nouveau leur mécontentement face à ces orientations synonymes d'une dénaturation sans précédent de notre métier.
Pour le Bureau académique du SNALC,
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